Mois de sensibilisation aux soins intensifs néo-nataux | L’histoire d’Océane et d’Émilie
J’ai eu l’immense chance d’avoir deux enfants en santé, qui ont crié à plein poumons en entrant dans le monde et qui ont pu être câlinés aussitôt et j’en suis tellement reconnaissante à la vie.
Alors, j’ai toujours été particulièrement sensibles aux histoires de bébés prématurés. Puisque que Septembre est le mois de sensibilisation aux soins néo-natals intensifs, je me suis dit que ce serait une bonne idée d’en parler et j’ai tout de suite pensé à mon amie Émilie, parce que nous avons accouché à quelques jours d’intervalle et que son histoire m’avait touchée. Je n’ose même pas imaginer l’impuissance et la douleur qu’elle a ressentie lorsqu’aussitôt née, on a emporté sa petite Océane à l’UNSI, sans même un premier câlin.
Je sais qu’Émilie n’est pas la seule à avoir vécu cette situation déchirante. Et c’est pourquoi je crois que toutes les mamans ont avantage à connaître le plan de câlins Huggies, parce qu’on ne sait jamais.
On ne sait jamais si bébé se pointera le bout du nez trop tôt, comme Océane.
On ne sait jamais comment se déroulera la naissance, ni si nous serons en mesure, comme toutes les mamans le souhaitent, de réconforter bébé après sa venue au monde.
On ne peut jamais être préparés pour l’inconnu, mais de prévoir d’avance qui pourra câliner notre bébé, quand et comment, si nous ne sommes pas en mesure de le faire enlève un stress énorme lorsque les choses tournent moins bien.
Parce que ce s’il y a bien une chose que l’on sait, c’est que tous les bébés ont besoin d’être câlinés. Dès l’instant ou les bébés prématurés sont prêts à être pris dans nos bras, la magie des câlins peut opérer : régularisation de la température, stabilisation du rythme cardiaque, meilleure oxygénation, diminution de la douleur et du stress, lien d’attachement favorisé…Pour ne nommer que ces bienfaits (il y en a plus!).
Même si on ne souhaite pas avoir à vivre une hospitalisation avec son poupon pour ce que cela comporte de deuils, de moments difficiles, de doutes et de peur, je pense que personne ne peut se considérer à l’abri d’une naissance plus difficile.
Alors, toutes les mamans enceintes devraient faire leur plan de câlins. Il s’agit d’un plan qu’Huggies a développé avec des professionnels de la santé et que tu emmènes avec toi lors de ton accouchement. Il permet de réfléchir à tous les scénarios possibles lors d’un accouchement et à ce que l’on souhaite qui arrive advenant chacun de ces scénarios : comment vas-tu câliner ton bébé et quand ? Ou qui sera le ‘’câlineur remplaçant’’ si tu n’étais pas en mesure de le faire toi-même.
Il est disponible juste ici.
J’ai demandé à mon amie Émilie de me concocter un petit ‘’kit de survie’’ parent-bébé pour les longues hospitalisations :
-Les hôpitaux fournissent les quelques premières couches de la marque de leur choix. Par la suite, quand le bébé revient à la maison, c’est bien de s’assurer d’avoir celles de la marque Huggies, particulièrement celles pour les prématurés, parce que contrairement à ce que l’on peut croire, il ne s’agit pas de couches simplement plus petites. Elles ont une découpe au niveau du nombril et sont aussi spécialement conçues pour être confortables dans la position fœtale et pour laisser passer tous les fils nécessaires aux différents équipements médicaux. (Little snugglers nano preemie)
-Des lingettes humides sont importante pour peaux sensibles, celles de la gamme natural care de Huggies sont nos préférées car elles contiennent de l’aloès et de la vitamine E.
-Des vêtements confortables qui facilitent le peau à peau et des doudous douces pour envelopper bébé.
-De la crème hydratante sans parfum pour bébé.
-Beaucoup de collations et des bouteilles d’eau.
-Des choses pour passer le temps et nous changer les idées : musique, livres, … -Et surtout… beaucoup de patience et d’amour.
Et puisque lorsque des gens proches de nous vivent cette épreuve terrible qu’est l’hospitalisation d’un bébé, on se sent maladroits, on a envie d’aider, mais on ne sait pas trop par où commencer…
Je lui ai aussi demandé comment l’entourage d’une famille dont le bébé est hospitalisé à l’UNSI peut témoigner son soutien.
Selon elle, la chose la plus importante est de respecter les besoins des parents, et ceux du bébé. Il faut comprendre que les bébés hospitalisés ne peuvent pas avoir de visite autre que celle des parents. Et que c’est pas du tout facile émotivement pour les parents, ils doivent vivre leur peine et leur deuil d’une fin de grossesse idéale. Chacun vit ça de façon différente.
De prendre des nouvelles, de poser des questions et d’être à l’écoute, c’est déjà beaucoup selon Émilie. Elle se souvient aussi avoir apprécié qu’on lui emmène des repas faits maison et des petits vêtements de taille prématurée pour Océane.
J’ai envie de terminer ce billet en envoyant de l’amour et du support à toutes les familles qui ont présentement un bébé hospitalisé à l’ UNSI. Vous êtes forts, et tout va bien aller.
L’histoire d’Émilie et d’Océane est porteuse d’espoir, malgré leur début très difficile, Océane est aujourd’hui une magnifique petite fille de 18 mois, épanouie et n’ayant plus aucun retard de développement.
Lorsqu’on demande à Émilie ce qui l’a le plus aidée à traverser cette épreuve difficile, elle répond sans réfléchir : l’amour, et les câlins.
Les couches et lingettes humides Huggies sont le choix numéro un dans les hôpitaux. La marque a d’ailleurs développé des produits spéciaux pour les prématurés comme discuté plus haut : Huggies little snuggler. Les offrir à des parents qui vivent la difficile épreuve d’avoir un bébé à l’UNSI, ça peut être une très belle façon de démontrer notre support.
Author: l’Emmèredeuse
L’emMÈREdeuse, c’est moi : Catherine.
Maman de deux (petits monstres) adorables garçons : Tom le dresseur de loups et Henri le Bébé Loup.
Je suis copropriétaire d’une famille recomposée remplie d’amour et de folie.
Ma plume prend parfois des chemins humoristiques, parfois des plus sérieux, mais toujours ceux de l’authenticité et de l’humilité.
Maman Louve à mes heures. Je partage avec vous les petits et grands moments de mon quotidien de maman.
De maman ben ordinaire.
Qui travaille à temps plein … Pis qui fait son gros possible.